Suivre les femmes de l’Ancien Testament

“Sara habite avec Abraham et partage son autorité. Dieu lui-même veut qu’elle porte le nom de princesse. Mais ce titre ne la dispense point des travaux du ménage. (…) Elle met tout en œuvre pour plaire à son mari, qu’elle nomme son seigneur, Baal. Elle le conseille, le console : et lui, l’écoute et l’aime ; il la protège au péril de sa vie ». La femme dans l’Ancien Testament, chanoine Boissonnot, ESR, disponible dans la bibliographie du blog
Photo @juliaberolzheimer
“Rebecca est l’Eglise : elle est aussi toute âme qui aime le Christ, tout cœur pur et chaste, ami du travail, généreux, passionné de sacrifice, mettant au rang secondaire les affections terrestres, alors même qu’elles sont légitimes, et au premier, l’amour de l’Epoux bien-aimé des âmes. Rebecca fait ainsi prévoir les légions de saintes femmes qui seront l’honneur de l’Eglise et la joie du foyer domestique » La femme dans l’Ancien Testament, chanoine Boissonnot, ESR, disponible dans la bibliographie du blog.
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« Les docteurs mystiques s’attardent à leur tour à considérer dans ces deux femmes une image frappante des deux vies active et contemplative, matérielle et intellectuelle. Lia, la vie active, réussit dans ses ambitions terrestres beaucoup plus que Rachel, la vie contemplative, qui se contente de l’amour du véritable Epoux des âmes, Jésus-Christ, mais qui ne laisse pas d’avoir aussi ses joies en ce monde ». La femme dans l’Ancien Testament, chanoine Boissonnot, ESR, disponible dans la bibliographie du blog.
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La preuve la plus frappante, selon saint Paul, d’une Providence qui gouverne le monde, c’est le choix qu’elle fait de ses instruments de salut, quand les choses sont au plus bas et désespérées. (…) A l’heure où l’entreprise de Moïse et de Josué semble à jamais ruinée, une simple femme paraît et met Israël au rang des fortes nations : Déborah. Ainsi se montrera Jeanne d’Arc à la France expirante. » La femme dans l’Ancien Testament, chanoine Boissonnot, ESR, disponible dans la bibliographie du blog.
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« Ruth bénira celui qui récompensait de tant de gloire ses dévouements passés. Elle reconnaîtra que ce qui fait décidément la grandeur de la femme, ce n’est ni la naissance, ni le bruit, ni la fortune, mais l’humilité, le travail et l’amour » La femme dans l’Ancien Testament, chanoine Boissonnot, ESR, disponible dans la bibliographie du blog.
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“Alors la loi de la Providence reprit son cours : une femme fidèle va réparer le mal cause par la femme infidèle, Anne, la stérile, succéder à l’impure Dalilah. Anne, mère de Samuel, figure et annonce la mère du Christ. A leur apparition, une douce lumière se répand sur le monde ; plus de scènes tragiques, plus de drames humiliants : tout est paix et suavité ». La femme dans l’Ancien Testament, chanoine Boissonnot, ESR, disponible dans la bibliographie du blog.
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« Elle se montra grande par l’intelligence et par le cœur. Mariée à un homme qui ne comprenait ni l’élévation de ses idées, ni la noblesse de ses sentiments, elle maintint cependant la dignité de la tente pastorale, souffrant en silence les fautes de son mari, s’efforçant de les réparer, s’exposant pour lui au péril. Une foi invincible en la Providence soutenait son austère dévouement ». » La femme dans l’Ancien Testament, chanoine Boissonnot, ESR, disponible dans la bibliographie du blog
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“Respha nous fait songer à cette autre mère qui se tint debout au pied de la croix de son fils. L’une et l’autre remplissent un rôle expiatoire. Il est, semble-t-il, des crimes qui ne peuvent être lavés que par les larmes de mère. Les lois de l’histoire amènent ainsi sur la scène, des victimes innocentes, choisies et mystérieuses. Elles viennent se placer entre le Ciel irrité et une nation ou une dynastie coupables ; elles souffrent des peines imméritées, puis elles disparaissent. Le sceptique s’étonne, l’impie blasphème, le croyant adore, car il sait que toute souffrance, toute larme, a sa raison et son prix » La femme dans l’Ancien Testament, chanoine Boissonnot, ESR, disponible dans la bibliographie du blog.
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“Qui trouvera une femme de valeur ? Elle vaut bien plus que des perles. Le cœur de son mari a confiance en elle, et c’est tout bénéfice pour lui. Elle lui fait du bien, et non du mal, tous les jours de sa vie. Elle se procure de la laine et du lin et travaille d’une main joyeuse.(…) La force et l’honneur, voilà ce qui l’habille. Elle rit en pensant à l’avenir. Elle ouvre la bouche avec sagesse et un enseignement plein de bonté est sur sa langue. (…) La grâce est trompeuse et la beauté est illusoire ; c’est de la femme qui craint l’Éternel qu’on chantera les louanges. » La femme dans l’Ancien Testament, chanoine Boissonnot, ESR, disponible dans la bibliographie du blog.
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« Elle fut admirable. Elle voyait en un instant périr ses 7 fils, et elle supportait courageusement ce spectacle. Pleine d’espoir en Dieu, elle les encourageait l’un après l’autre, unissant l’intrépidité d’un homme à la tendresse d’une femme ». La femme dans l’Ancien Testament, chanoine Boissonnot, ESR, disponible dans la bibliographie du blog.
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