Pourquoi je rejette le féminisme (et vous devriez aussi)

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1 – Le féminisme n’accorde aucune valeur à la famille.

Le féminisme est responsable de beaucoup de foyers malheureux en occident. Il a persuadé les femmes de se mettre en compétition avec les hommes, et les a activement encouragées à mettre leur carrière au-dessus de tout, y compris de la maternité. Le mariage et la maternité n’ont aucune importance pour la femme moderne. On a appris aux femmes que les hommes étaient interchangeables et remplaçables, ce qui a provoqué de nombreux mariages irréfléchis, l’accessibilité facile au divorce et un nombre important d’enfants élevés sans leur père. Il est d’ailleurs prouvé que les enfants issus de familles monoparentales ont moins de chance de bien s’en sortir dans la vie. Le féminisme vole littéralement le futur de nos enfants.

Les femmes qui travaillent délèguent le soin et l’éducation de leurs enfants à des nounous ou des crèches pour pouvoir se consacrer entièrement à leur travail. Les enfants sont donc éduqués par des étrangers afin que les femmes puissent avoir leur nom sur une fiche de paie. Les grossesses ne survenant pas à un moment optimal sont tout simplement arrêtées par un avortement, puisque le féminisme accorde plus de valeur à l’indépendance de la femme qu’à une vie à naître.

2 – Le féminisme nourrit l’égoïsme

Le féminisme pousse les femmes à toujours se faire passer en premier, ce qui nourrit l’égoïsme et l’ingratitude. On leur a appris que la seule chose qui compte est leur propre bonheur, et qu’elles peuvent faire ce qu’elles veulent pour l’obtenir. Les féministes ne sont pas prêtes à faire des sacrifices, y compris pour leurs propres enfants. Elles ne sont jamais satisfaites de ce qu’elles ont parce qu’on leur a appris que ce qu’elles ont n’est jamais assez.

Les féministes disent qu’elles veulent l’égalité, mais en réalité elles veulent la suprématie. Elles disent vouloir des relations « 50-50 », mais voudront toujours que les hommes leur tiennent la porte, paient l’addition ; elles veulent un congé menstruel mais également la même paie que les hommes. A cause du féminisme, beaucoup de femmes ont obtenu des postes uniquement grâce à leur sexe, et pas à leurs compétences.

3 – Le féminisme encourage activement l’immoralité

Aujourd’hui, les femmes s’engagent dans des relations sexuelles sans avoir de mari et sans penser à la possibilité d’une grossesse. Les travailleuses du sexe sont mises sur un piédestal, mais les mères au foyer sont accusées de gâcher leur vie. Le féminisme préfère les femmes vendant sans cesse leur corps, plutôt que les femmes qui restent à la maison pour prendre soin de leur mari et de leurs enfants. En ce qui concerne la tenue vestimentaire, les femmes sont activement encouragées à s’habiller de façon provocante, à s’exposer aux yeux de tous, tout en diabolisant les hommes qui osent les regarder.

4 – Le féminisme a provoqué une mentalité de victimisation des femmes

Le féminisme a rendu à la mode le fait d’être une victime, ce mouvement est obsédé par la victimisation. Il est évidemment important que les femmes, les hommes et les enfants puissent faire entendre leurs voix à propos de vrais problèmes. Cependant, à cause du féminisme, il y a une course sans fin à qui sera la femme qui est la plus grande victime. Les féministes vont même traiter de victimes les femmes qui ne cessent de répéter qu’elles ne le sont pas, comme les mères au foyer ou les femmes qui se soumettent à leur mari. Les féministes ne peuvent pas supporter celles qui s’occupent d’éduquer les futures générations et veulent donc leur coller l’étiquette de « femmes oppressées ».

La rhétorique féministe se concentre sur ce que les femmes ne peuvent pas faire plutôt que sur ce qu’elles peuvent faire. C’est sans fin. Elles ne seront jamais satisfaites de ce que les femmes peuvent faire, car la victimisation est l’essence même de leur fonctionnement.

5 – Le féminisme ignore les problèmes des hommes

Pour un mouvement qui ne cesse de parler d’égalité, le féminisme encourage toutes les femmes à parler haut et fort de leurs problèmes, mais en revanche les hommes n’ont pas le droit à la parole. Si les problèmes des hommes étaient mis sur le même plan que ceux des femmes, alors celles-ci ne seraient plus les uniques victimes et leur rhétorique ne fonctionnerait plus. Quelques exemples de problèmes masculins dont on ne parle que très peu : la garde des enfants après le divorce qui est de préférence accordée aux femmes ; le taux de suicide plus élevé chez les hommes que chez les femmes ; le nombre de sans-abri beaucoup plus élevé que chez les femmes ; aucun recours légal en ce qui concerne l’avortement de leur enfant.

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4 réflexions sur “Pourquoi je rejette le féminisme (et vous devriez aussi)

  1. Marie dit :

    Le féminisme n’aime pas la femme, il veut modifier le monde pour qu’il s’adapte à son idéologie qui est directement issue du péché d’orgueil.

  2. C. dit :

    La personne qui a écrit ça n’a pas bien compris ce que c’est que le féminisme, et confond « féminisme » et « travail des femmes ». Le féminisme est indispensable, par contre on peut discuter de la plupart des autres points.
    PS : j’ai été maman au foyer des années parce que j’estime que c’est la meilleure chose pour les enfants, et je suis féministe et c’est parfaitement compatible !

  3. Marie dit :

    C. Alors qu’entendez vous par féminisme ? Le féminisme part, me semble t il, d’un constat faux : celui qu’hommes et femmes ne seraient pas considérés comme égaux dans la société traditionnelle dite « patriarcale ». Or, comme l’a souvent souligné Thérèse, il s’agit là d’abus, nés en majeure partie sous la Révolution et l’Empire Napoléonien, pas d’un principe. Le féminisme est une illusion, il faut défendre la famille, une société sainement construite, la hiérarchie, l’autorité, les droits de Dieu ; pas les intérêts d’un sexe ou d’une catégorie sociale au détriment du reste (c’est le même problème que la lutte des classes, les syndicats etc). Tout cela est surtout la preuve extérieure d’un égoïsme profond, pas forcément conscient d’ailleurs, qui ne supporte pas de ne pas pouvoir vivre « pour soi », et qui ne supporte pas non plus que les intérêts privés soient soumis à des intérêts supérieurs (la défense de la foi par exemple, la sécurité de la nation etc).

  4. Rosalie dit :

    Je suis parfaitement d’accord avec vous! J’ai jadis été féministe et je suis heureuse de ne plus l’être. Les féministes sont souvent la cause de plusieurs disputes qu’ils y a entre les garçons et les filles de mon école. Beaucoup de féministes de nos jour sont extrémiste!

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